PAROLES D'ELEVES


Réaliser un rêve en débutant le piano à l’âge adulte

 

« Le cours d’une heure est bien structuré entre le solfège et le piano. Il y a parfois une baisse d’assiduité mais je n’ai jamais ressenti de découragement. Même si je n’ai pas travaillé, le cours, qui se déroule à la maison à l’heure du déjeuner, est maintenu, ce qui permet de maintenir le lien. C’est indispensable d’avoir un cours régulier. Une heure par semaine, c’est bien pour débuter. Je suis vraiment très heureuse car c’était un grand regret de ne pas avoir appris le piano ».

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Nathalie, contrôleur de gestion, mère de trois enfants

 


Jouer à nouveau, avec la liberté de choisir son répertoire

 

« En reprenant des cours, je souhaitais me faire plaisir en jouant ce que j’aime et c’est le cas. Marie-Cécile n’a émis aucune résistance face à mes choix. Sans chercher à m’imposer quoi que ce soit, j’apprécie qu’elle me propose d’autres choses. J’ai découvert un morceau de tango que j’aime beaucoup. Le cours se déroule tous les 15 jours dans son studio de musique. C’est magique de jouer sur un piano à queue ; Le principe d’engagement sur une période donnée me semble normal ».

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Rosalie, une maman qui travaille, mère de deux petits enfants


Quand un guitariste rock professionnel se met au piano

 

« J’apprends un autre instrument dans le but d’enrichir ma formation musicale. Grâce à ces cours, j’ai découvert un autre univers, une autre façon de travailler et d’aborder un instrument. Les cours répondent à ce que j’attendais. J’avais eu l’occasion d’écouter Marie-Cécile en concert. Son jeu pertinent donne envie de se mettre au piano. Le prof a cette vocation : donner envie, sans saturer l’élève par son savoir. Elle est passionnée, ce qui résume tout ».

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Castan, guitariste professionnel

Auteur, compositeur, interprète de rock français

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Reprendre des cours et les continuer

 

« Marie-Cécile réussit à allier rigueur professionnelle et souplesse, avec compréhension et bienveillance. Il est nécessaire d’être dans des conditions favorables pour parvenir à concilier ses obligations quotidiennes et professionnelles à la pratique d’un instrument. Le cours régulier, toujours dans la bonne humeur, et un travail même très court mais si possible tous les jours, permet de garder le contact avec l’instrument. Jouer sur un piano à queue est aussi une motivation de plus pour aller en cours ».

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Laurence, 43 ans, conceptrice-rédactrice